Mieux comprendre le rôle de la zona incerta, c’est le défi que s’est lancé Mylène Wilt, doctorante en 2e année au GIN. Et depuis qu’elle s’intéresse de près à cette zone du cerveau très peu étudiée, elle en est convaincue : la zona incerta joue certainement un rôle important dans les mécanismes de l’addiction. La jeune chercheuse expose ses arguments dans un article paru dans la revue Frontiers.